In the bill we have before us — the individual who has committed more than one murder and is now no longer eligible for parole after 25 years, but is eligible for parole after 50 or even 75 years — it would reduce that victimization so the question would not arise then, for the most part, whether the individuals who have to apply to make these hearings, whether they are being victimized again.
Dans le projet de loi à l'étude — la personne qui a commis plus d'un meurtre et qui n'est plus admissible à la libération conditionnelle après 25 ans, mais qui l'est après 50 ou même 75 ans —, la victimisation serait réduite, alors la question ne se poserait pas, dans la plupart des cas, quant à savoir si les personnes qui doivent présenter une demande à l'égard de la tenue des audiences en question, quant à savoir si les gens seraient de nouveau victimisés.