Having had recourse to the bailout mechanism, Greece, Spain and Portugal have come under heavy pressure from the Commission and the IMF to make major changes to industrial relations and collective bargaining procedures under the terms of the respective ‘Memorandums’, thereby overturning national guarantees for workers.
En recourant au mécanisme de soutien, la Grèce, l’Irlande et le Portugal se sont vu imposer de manière pressante par la Commission et le FMI, par le biais de «mémorandums», l’introduction d’importants changements dans les relations de travail et les procédures applicables aux négociations collectives, qui ont fait disparaître les garanties nationales en faveur des travailleurs.