This is all the more surprising given that, summing up this supposed need and in an attempt to justify application of the precautionary principle, the Commission argues that 'existing knowledge already permits steps in the right direction', even though in the first pages of the communication it admits that existing scientific knowledge of marine ecosystems is inadequate.
Et encore plus curieux, pour souligner cette nécessité et pour justifier l'application du principe de précaution, la Commission affirme dans ce chapitre que, "les connaissances (scientifiques) actuelles permettent déjà de progresser dans la bonne direction" alors que dans les premières pages du document elle reconnaissait l'absence de connaissances scientifiques sur les écosystèmes marins.