To speak of our rights is to speak of treaties, treaties that have been forgotten, ignored, set aside, and never signed, as was the case for a great part of what is now British Columbia, as was the case for the greater part of the province of Quebec, before the agreements signed with the Cree, the Inuit and the Naskapi.
Car parler de nos droits, c'est parler des traités, des traités oubliés, trahis, mis au rancart, mais aussi des traités qui ne furent jamais signés, comme c'est le cas pour la grande partie du territoire de l'actuelle Colombie-Britannique, comme c'était le cas de la plus grande partie de la province de Québec, avant les conventions signées avec les Cris, les Inuits et les Naskapis.