In that way, we overcharge, levy taxes and duties and prevent developing countries from selling food to us, and then hand the money out again, as subsidies tailored to the owners’ assets.
De cette façon, nous faisons payer trop de taxes et de droits et empêchons les pays en développement de nous vendre de la nourriture, puis nous redistribuons l’argent sous forme de subventions dont le montant dépend des biens des propriétaires.