When we speak to issues such as the recent decision out of British Columbia in the case of the Queen v Shaw that talks of the ability of a person to possess child pornography, it certainly conjures up a statement made by a law professor, Victor Goldberg in Nova Scotia, at Dalhousie University, when he said that bad facts make for bad law.
Quand on parle de questions comme la décision récente prise par un tribunal de la Colombie-Britannique dans la cause La Reine c. Shaw, qui porte sur le droit de ce dernier d'avoir en sa possession du matériel pornographique exploitant des enfants, cela me fait sûrement penser à ce qu'un professeur de droit, Victor Goldberg, de l'Université Dalhousie, m'a déjà dit, à savoir que de mauvais fondements ne font pas de bonnes lois.