The second mistake is to imagine that even if that were a legitimate public policy objective—a conclusion we would vigorously resist—to embrace a dispute resolution process that is opaque, secretive, non-participatory, and undemocratic is simply without any public policy justification whatsoever.
La deuxième erreur est de croire que, même s'il s'agissait d'un objectif politique légitime—une conclusion que nous sommes loin de partager—, il est totalement injustifié d'adopter un processus de règlement des différends qui est à la fois opaque, secret et antidémocratique.