We've urged them to actually look at some of the options, such as the Brockville treatment centre, to get the women completely out of federal corrections and out of the prisons, because the environment is such that the manner in which those four indigenous women right now labelled under the supermax designation are treated is worse than in the supermax special handling unit that exists in Quebec for men.
Nous les avons vivement encouragés à examiner certaines des options, notamment le centre de traitement de Brockville, pour faire sortir complètement les femmes des centres correctionnels fédéraux et des prisons, car la façon dont sont traitées ces quatre femmes autochtones — qui se trouvent à l'heure actuelle dans un établissement de sécurité maximale — est pire que dans l'unité spéciale à sécurité maximale qui existe au Québec pour les hommes.