If there are efficiencies, they should be taken into account in close cases (and not when the merger leads to monopoly or near-monopoly), at least where proof of those efficiencies is relatively clear, the benefits are likely to be passed on to consumers, and the efficiencies cannot be achieved in a substantially less anti-competitive way.
Les gains en efficience devraient être pris en compte non pas lorsque le fusionnement résulte en un monopole ou un quasi monopole, mais lorsqu'il est relativement clair que la transaction va donner lieu à des gains en efficience, que les consommateurs vont vraisemblablement en tirer profit, et que les gains en efficience ne peuvent être réalisés d'une façon qui se veut moins anticoncurrentielle.