Cette fois-ci hélas, Monsieur le Président, et bien que vous étiez
effectivement parmi nous à l’époque où Otto von Habsburg et Altiero Spinelli ont invit
é le Parlement à se dresser contre le Conseil en refusant d’émettre des avis, cette fois-ci, donc, Monsieur le Président, nous avons tous deux pu voir le Parlement accepter sans difficulté le rôle de «Parlement taxi», lorsqu’il s’est agi de donner suite au désir de nous imposer des échéances qui n’étaient pas les nôtres – et que vous nous avez bel et bien imposées
...[+++] – à propos d’un agenda de Lisbonne infructueux.