One of the reasons our traditional risk assessment model is not going to work for endocrine disrupters— I don't want to get too complex about this, but usually we do high-dose testing, so we inject some rats, or whatever, with huge doses and then a few lower doses and a few lower doses and then extrapolate backwards.
Une des raisons pour lesquelles notre modèle traditionnel d'évaluation du risque est inutile pour les substances qui perturbent la fonction hormonale.Je ne veux pas entrer dans des détails trop complexes, mais normalement nous effectuons des tests en utilisant des doses élevées; si l'on injecte des substances à des rats, ou à d'autres animaux, ce sont d'énormes doses, puis des doses moins élevées, et des doses moins élevées encore, et puis on extrapole à rebours.