One final comment—and our colleague, Phil Schlote, recognizes what I'm about to say—is that in the world of Sport Canada's ranking system, we could have qualified for World Cu
p this past year by beating United States; beating Mexico; going 10 wins, 0 losses, 0 ties, 0
draws; scoring 50 goals and having 0 goals against; going to the World Cup in France this year, which has a 35-billion cumulative audience, 3.5 billion for the final itself, and 25 million ticket requests for only 2.5 million tickets; beaten Brazil in our first game
...[+++]; tied England in our second game; lost to Nigeria 1-0 in our third game; finished in 17th spot out of 32; and be ranked as an absolute failure in the eyes of Sport Canada.Une dernière observation—et notre collègue, Phil Schlote, est d'accord avec ce que je m'apprête à dire—c'est que dans le système de classement de Sports Canada, nous aurions pu nous qualifier pour la Coupe du monde l'an der
nier en battant les États-Unis; en battant le Mexique; avec 10 victoires, aucune défaite, aucun match nul; en comptant 50 buts et sans s'en faire compter un seul; en allant à la Coupe du monde en France cette année, qui rejoint un auditoire cumulatif de 35 milliards de personnes, 3,5 milliards pour la finale elle-même, et 25 millions de demandes de billets pour seulement 2,5 millions de billets; il aurait fallu ba
...[+++]ttre le Brésil au premier match; faire match nul avec l'Angleterre au second match; il aurait fallu perdre 1-0 contre le Nigéria au troisième match; nous aurions terminé 17e sur 32; et pourtant, Sports Canada nous aurait jugés parfaitement nuls.