On NAMA, the Commission is still demanding too much extreme liberalisation, which will threaten the very survival of some developing countries’ local manufacturing and it is hardly in the spirit of the Development Round to demand action on applied tariff levels rather than, as usual, bound tariff levels.
Sur le front de l’AMNA, la Commission exige encore une libéralisation trop extrême, qui menacerait la pérennité même de l’industrie locale dans certains pays en développement, et il ne correspond guère à l’esprit du cycle pour le développement de demander une action sur les niveaux de droits de douane appliqués plutôt que sur les niveaux de droits de douane contraignants, comme à l’accoutumée.