That was a crime — in terms of sentencing — that could be linked to Canadian laws. However, the individual could have requested a special status based on a legal provision, and the immigration minister could not have banned him from entering, as he had already visited Canada — including in 2010.
Il s'agissait d'un crime, en termes de sentence, avec lequel on pouvait faire un lien avec les lois ici au Canada, mais il y avait une espèce de disposition qui faisait en sorte qu'il aurait pu demander un statut particulier et à ce moment-là, le ministre de l'Immigration n'aurait pas pu l'interdire, parce qu'il était déjà venu au Canada, entre autres en 2010.