A 2012 study[20] by the Dutch Government shows that if only a modest 2.5% of international graduates remained to work in the country, this would result in positive long-term effects on the public finances, over and above the recouped investment.
Une étude réalisée en 2012[20] par le gouvernement néerlandais montre que si seulement 2,5 % des diplômés internationaux restent travailler dans le pays, il y a déjà des répercussions positives à long terme sur les finances publiques, en plus de la récupération de l’investissement.