Although there may be no appetite to spend more on health care, little spending now means spending more later: more on health care utilization, more on absenteeism, presenteeism and disability at work, and perhaps most importantly more in the costs borne by individuals and families.
Même si on n’a peut-être pas très envie de dépenser davantage pour la santé, il reste que si on dépense peu maintenant, on devra dépenser plus, plus tard: plus en utilisation de soins de santé, en absentéisme, en présentéisme et en maladies au travail et peut-être, ce qui est encore plus important, en coûts assumés par les particuliers et les familles.