At times in Hong Kong I felt that some developing country partners were simply not convinced that the progressive, properly supported opening of markets is good for development at all and that, instead, the panacea for all the developing world’s illnesses was simply the tearing-apart of the common agricultural policy.
À Hong Kong, j’ai parfois eu le sentiment que certains partenaires des pays en voie de développement n’étaient tout simplement pas convaincus que l’ouverture progressive des marchés, réalisée avec un soutien adéquat, favorise le développement, et qu’ils pensaient plutôt que la panacée pour tous les maux des pays en développement était la destruction pure et simple de la politique agricole commune.