By this accord, the state, in the eyes of international law, lost its monopoly on violence, yet the residue of state sovereignty remains in the twisted minds of some political elites in the former Yugoslavia, in the Caucasus, in the former USSR, in the Indian subcontinent, in Chechnya and in large spaces of Africa.
En vertu de cet accord, l'État, selon le droit international, a perdu son monopole sur la violence et pourtant un résidu de la souveraineté de l'État persiste dans l'esprit tordu des certaines élites politiques de l'ex-Yougoslavie, du Caucase, de l'ex-URSS, du sous-continent indien, de la Tchétchénie et d'une grande partie de l'Afrique.