For we cannot ignore the latest figures showing that 30% of young people have had at least one distasteful encounter online, at least one unpleasant experience in which the child has come across pornographic content, offensive or violent messages of various kinds or sexual advances or even content inciting violence or self-harm, suicide, anorexia or bulimia.
Car nous ne pouvons ignorer les derniers chiffres, qui montrent que 30 % des jeunes ont fait au moins une rencontre douteuse en ligne, vécu au moins une expérience désagréable au cours de laquelle l’enfant est tombé sur un contenu pornographique, des messages choquants ou violents de différents types ou des avances sexuelles ou encore un contenu incitant à la violence ou à l’automutilation, au suicide, à l’anorexie ou à la boulimie.