Had the West not insisted on Assad's immediate departure and refused to allow Iran a seat at the table, Kofi Annan's power-sharing arrangement within a transitional government would have paved the way for incremental democratic reforms in Syria and, once again, would have left much less room for extremists like ISIL to operate.
Si l'Occident n'avait pas exigé le départ immédiat d'Assad et refusé que l'Iran participe aux négociations, l'entente de partage des pouvoirs proposée par Kofi Annan dans le cadre d'un gouvernement de transition aurait ouvert la voie à des réformes démocratiques progressives en Syrie, ce qui, une fois de plus, aurait laissé beaucoup moins de place à l'intervention de groupes extrémistes comme l'EIIL.